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Invineo lève 3,3 millions d’euros supplémentaires et prépare sa commercialisation à grande échelle

Publié le 29 juin 2020

 

Pour ceux qui ne connaissent pas encore, Invineo, est une machine innovante et high tech de service de vin au verre qui préserve, rafraîchit, contrôle et sert le vin avec précision. Très actif dans le monde des médias en tant que patron de la régie IP (RTL), de Peaktime, de SBS et en tant que consultant, Thierry Tacheny a décidé de se lancer dans l’œnologie. Depuis environ 5 ans, il travaille sur cette fameuse machine qui permet de fractionner la consommation du vin. Ce concept est né d’un constat : on consomme davantage un verre de vin plutôt que la bouteille entière.

Des débuts à aujourd’hui

L’aventure débute en 2015 avec 750.000 euros investis. Après trois années de développement ,en mars 2018, Invineo lève 2,7 millions d’euros supplémentaires et accueille 3 nouveaux actionnaires : le Groupe Cinoco/palais du Vin, Namur Invest et la SRIW. En 2020, en pleine crise sanitaire du covid-19, Thierry Tacheny boucle une troisième levée de fonds et réussit à nouveau à récolter 3,3 millions d’euros supplémentaires. Le montant total investi s’élève donc à 6,7 millions d’euros. Il permettra à la société de se lancer dans les phases d’industrialisation et de commercialisation à grande échelle d’Invineo. C’est au sein d’un atelier se situant à Gembloux que seront produites les machines. Une dizaine de contrats ont déjà été conclus et une vingtaine de machines installées. L’objectif est d’installer 100 machines pour la fin de cette année et entre 300 et 500 pour la fin de l’année 2021. Parmi les premiers clients, on trouve de belles références comme le Sheraton de Zaventem, le Crowne Plaza et 9 autres hôtel à bruxelles, le Parc Astérix à Paris, le Sportpaleis d’Anvers, etc.

Un investisseur précieux

Parmi les derniers investisseurs à avoir rejoint l’aventure, on retrouve Philippe Lhomme. Il a injecté 800.000 d’euros via sa société Anthropos. Il s’agit d’un allié précieux avec un beau carnet d’adresses puisque celui-ci est très actif dans l’événementiel (salons Batibouw, le Salon des vacances, Cocoon…). Il est également propriétaire du Crazy Horse et président du Camuluc en France (le syndicat national des cabarets, music-halls et lieux de création). Il devrait donc contribuer à doper la notoriété d’Invineo dans les mois à venir.

L’aventure peut donc se poursuivre avec d’autres étapes par la suite pour soutenir la croissance d’Invineo et exporter encore davantage le concept.

Sources de l’article:

  • La Libre Belgique du 25 juin 2020, p.23
  • Trends Tendances du 25 juin 2020, p.60.
  • L’Echo du 25 juin 2020, p. 13.

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